Les grandes erreurs de la Seconde guerre mondiale
Auteurs   Lopez, Jean (Auteur)
Wieviorka, Olivier (Auteur)
Edition  Science vie. Guerres histoire : [Montrouge] , DL 2020
Collation   1 vol. (312 p.)
Illustration   ill.
Format   21 cm
indice Dewey   940.53
940
ISBN   978-2-262-08134-8
Prix   20 EUR
Langue d'édition   français
Sujets   Guerre mondiale (1939-1945)
Guerre mondiale (1939-1945) -- Opérations militaires
Catégories   Histoire & Géographie
Nombre de réservation(s) actuelle(s) : 0
Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
bibliothèque 1629080021782 940 LOPAdulte / Documentaires AdulteDisponible
Résumé : Dans la lignée des Mythes de la Seconde Guerre mondiale, 20 erreurs stratégiques de cette guerre expliquées par une équipe d'historiens et la rédaction de Guerres Histoire, dirigées par Jean Lopez et Olivier Wieviorka. La Seconde Guerre mondiale a duré près de six années, aussi longues que terribles. Cette durée s'explique, bien entendu, par les formidables moyens que les belligérants déployèrent sur terre, sur mer et dans les cieux : au vu des forces mobilisées, il était vain d'espérer abattre l'ennemi par une campagne unique ou une bataille décisive. Mais les erreurs commises expliquent aussi que ce conflit se soit éternisé. Si Hitler ne s'était pas obstiné à gagner la bataille d'Angleterre ou à prendre Stalingrad, si la France, en mai 1940, n'avait pas imprudemment lancé ses forces en Belgique et en Hollande, si les Anglo-Américains n'avaient pas débarqué en Afrique du Nord..., la face de la guerre en eût été changée et sa durée vraisemblablement raccourcie. En traquant les erreurs commises par les deux camps, ce livre, toutefois, ne cherche pas à céder aux vertiges de l'uchronie, en imaginant ce qui se serait passé si . Son ambition est tout autre : il vise en effet à explorer la rationalité des acteurs. Car les décisions prises par les dirigeants politiques ou les chefs militaires reposaient sur un ensemble de paramètres qu'il importe de décrire, afin de comprendre pourquoi ils menèrent à l'échec. Les stratèges se fondaient sur des informations parfois imparfaites, sur des moyens souvent limités, sur des hypothèses par moment fallacieuses. Autant de facteurs qui conduisirent, plus d'une fois, au désastre. Mais les historiens n'accorderont pas toujours le primat à la raison. De fait, malgré les enjeux colossaux d'une guerre où des millions de vies étaient en jeu, l'orgueil, l'obstination, le carriérisme et l'opportunisme pesèrent aussi lourdement dans la prise de (mauvaises) décisions. Autant de cas de figures qu'illustreront, de Stalingrad à Market...
Notes : Notes bibliogr.